La Violette du Manoir 2012
Voilà une région bien peu connue du Libournais, sise à 50 km de Bordeaux d’un côté, 40 km de Bergerac de l’autre, jouxtant la célèbre appellation Saint-Émilion. Quand on sait que François Thienpont et Stéphane Derenoncourt ont sélectionné les parcelles une par une pour élaborer cette gamme de vins, on sait déjà que l’on ne sera pas déçus, et quand on voit les critiques de France et d’ailleurs s’extasier sur cette cuvée, aucune hésitation, nous nous devions de goûter.
Dans le verre, la couleur de la robe est très soutenue, oscillant entre le rubis et le topaze, et d’une belle profondeur. ON s’attend à ce que La Violette du Manoir 2010 se révèle concentrée. Et le nez confirme ! La présence de fruits rouges bien mûrs, de cassis, et en arrière-plan, une belle trame aromatique sur le réglisse et les fleurs … Tout nous porte à penser que cette cuvée va tenir ses promesses. La bouche reste dans la même veine : tannins serrés et déjà patinés, la suavité d’une matière bien enveloppante, généreuse et gourmande… Un vrai bonheur, un vin qui se met facilement à table dès à présent avec un plat qui a du répondant, un canard à l’antillaise par exemple, ou pour les puristes, une belle pièce de viande rouge !
La Violette du Manoir 2012 Castillon Côtes de Bordeaux
La Violette du Manoir 2012
Voilà une région bien peu connue du Libournais, sise à 50 km de Bordeaux d’un côté, 40 km de Bergerac de l’autre, jouxtant la célèbre appellation Saint-Émilion. Quand on sait que François Thienpont et Stéphane Derenoncourt ont sélectionné les parcelles une par une pour élaborer cette gamme de vins, on sait déjà que l’on ne sera pas déçus, et quand on voit les critiques de France et d’ailleurs s’extasier sur cette cuvée, aucune hésitation, nous nous devions de goûter.
Dans le verre, la couleur de la robe est très soutenue, oscillant entre le rubis et le topaze, et d’une belle profondeur. ON s’attend à ce que La Violette du Manoir 2010 se révèle concentrée. Et le nez confirme ! La présence de fruits rouges bien mûrs, de cassis, et en arrière-plan, une belle trame aromatique sur le réglisse et les fleurs … Tout nous porte à penser que cette cuvée va tenir ses promesses. La bouche reste dans la même veine : tannins serrés et déjà patinés, la suavité d’une matière bien enveloppante, généreuse et gourmande… Un vrai bonheur, un vin qui se met facilement à table dès à présent avec un plat qui a du répondant, un canard à l’antillaise par exemple, ou pour les puristes, une belle pièce de viande rouge !
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La Violette du Manoir 2012
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